En attendant la fin de l’acte
Ainsi, face au péril, je veille sans trembler,
J’entend grincer au loin le charroi de la mort,
Que mène un phaéton pareil aux noirs fantômes.
À la bouche je n’ai ni prières ni psaumes,
Impassible en l’imposte où je guette le sort,
Sentinelle je suis, seule sur mon remblai.
Là, de marbre et d’albâtre et de roc, rassemblé,
Je défie le néant sans l’ombre d’un remord,
Mon feutre et mon épée dans le creux mes paumes.
juin 2014
islande - take a walk on the wild iceland
Dernière journée de la première partie du voyage. Je dois bien dire que jusqu'à maintenant, en dehors de mes petits problèmes existentiels du début qui ont fondu comme neige au soleil , je pa...