L’estran
L’étrange élan de l’angélus
Être, ange élu, le ranges-tu ?
Lettres en râlant du hêtre allant,
L’estran nageant, sage, au Latran.
Oh, rage, outrance où tance tant
À ce forage orage étend.
L’ancrage tend, là, c’est latent
L’encrage lent des charlatans.
C’est à Ceylan que tard l’attend,
Consul hélant, ce las sultan,
Hellénisant, c’est excellent.
Mais, insultant là, sur le champ
Cessant ses chants, l’instant présent
Lâche l’instance, omniprésent.
mars 2007