À Marot
( paraphrase )
Plus ne suis ce que j’ai été,
Mais certes, ne voudrait plus l’être,
Triste printemps, et morne été
Me faites penser à des spectres.
Amour que j’ai su mal connaître
Tu ne me fus qu’un songe creux,
Hélas ! Si je pouvais renaître,
Saurais-je enfin ouvrir les yeux ?
février 2012
Le poème du malicieux et délicieux Clément Marot, dans sa version originale, en nos annales...