Le pâtre et le mulâtre
De la vive avenue
D’où la vie m’est venue
L’aveu nu de l’avis
Lave aux nues le parvis.
De la rive ingénue
De la rime menue
La gêne émue s’arrime
Le gène mu, là, trime.
Le mulâtre confus
Remue l’âtre où il fut,
D’où cendre va dépendre
Où suspendre le sandre,
Et, ladre en sa demande
Le pâtre en vain s’amende.
juillet 2015