Assad
Au salaud triomphant qui domine la terre
Qui, d’un archet sanglant, ses musiques funèbres
Entonne, l’arrogant, où le meurtre est sa loi ;
Au dictateur syrien qui promulgue l’effroi,
Malédiction d’un peuple encerclé de ténèbres
Et qui fuit vers l’exil et sa mortelle serre ;
Je dédie cet opus, impuissante resserre,
Verbiage désarmé d’inutiles algèbres
À dénombrer les morts du tyran aux abois.
mai 2016