Casse-cul
Il a trop plu,
Trop blet, trop cru,
Trop mal au cul,
Ce mois de mai là ne me plut.
Je n’en veux plus
Vainement j’attends sa décrue ;
Que ce dol qui carde mon cul,
Certes, reflue.
Mais il semble que c’est exclu.
Ce casse-cul,
Comme glu collée à mon cul
Me lâche plus,
Sans le moindre recul,
Ce cornard, ce consul,
Sans scrupule,
Me mord au cul et me retient sous sa férule.
Lionel, 31 mai 2016